François Roux, avocat de Moussaoui
Il a dit...
« ... Ce jour-là, la France a rétabli la peine de mort par procuration »
Fin 2002, Dominique Perben, ministre de la Justice, venait de conclure un arrangement assez jésuite dans lequel Washington s’engageait à n’utiliser les renseignements français que pour établir la culpabilité de Moussaoui, pas pour définir sa peine.